Ici, la réalité sur la libido !
Une relation sexuelle est facile à expliquer, mais pour ce qui est de son origine, il faudrait remonter vers le temps des pères de la psychanalyse pour le comprendre. Les couples ou la personne en difficulté tend toutefois à se renseigner sur les soucis au niveau de l’anatomie lorsqu’on parle de libido alors dès maintenant il faut cerner que c’est aussi d’ordre psychique. Et s’il suffit simplement de comprendre l’origine de la libido pour identifier les manières de le vivre et de la gérer ? En guise de réponse, faisons un tour d’horizon sur la réalité de la libido.
À la base, la libido est une énergie
Freud, le premier père de la psychanalyse rassemble dans son lexique du libido, désir, énergie, envie, pulsion et fantasme. Celui de Carl Jung le renvoie à une énergie, mais qui évolue en dehors de la sexualité. On apparente ainsi la libido à une énergie qui permettra à la personne de soutenir ses besoins physiques lui permettant de survivre. De cette manière on l’apparente à un ordre naturel ou instinct.
Si la libido prend sa source dans la psychanalyse, qui traite les processus mentaux, c’est qu’en théorie c’est dans la tête qu’elle se passe. En effet, toutes les idées qu’une énergie est résultante d’un muscle sont souvent trompeuses. Le désir peut surpasser la masse corporelle et défie même ses propres estimations.
Au cœur, la libido est le maitre du sexe
Actuellement la définition de la libido revient à celui du Freud. Elle désigne l’appétit sexuel, mais reste parfois incontrôlable puisqu’il s’agit d’un réflexe inné. L’appétit sexuel, comme tous les autres appétits se révèlent par la sensation de la vue et du toucher. C’est-à-dire, ces organes sensoriels renvoient les signaux au cerveau et celui-ci responsabilise les parties endocriniennes à sécréter l’hormone qui déclenche l’appétit.
C’est là qu’intervient la partie matériel ou plutôt physique. Toutes les parties du corps contribuent naturellement à faciliter les souhaits du corps. Il s’agit notamment des imaginations, des touchers, des masturbations, de la sécrétion vaginale et spermatique, la vascularisation des parties intimes.
Pourquoi est-elle parfois en baisse ?
La psychologie ou le cerveau est la partie donneuse d’ordre si le reste du corps exécute. Les signaux alertant le cerveau, qui est traduit en directives émanent toutefois de l’anatomie. Il est alors compréhensible que les soucis psychiques ou physiques créent une perturbation de la sécrétion d’hormone et ainsi la baisse de la libido.
En pratique, qu’est-ce qui attaque la libido ? On peut citer les traitements médicaux, la contraception, le stress. Mais il y a également, les maladies, les fatigues et le rythme et hygiène de vie. Elle se manifeste par des douleurs lors des rapports sexuels, la réduction de la sécrétion vaginale, la difficulté érectile, l’éjaculation précoce ou un vrai refus de s’adonner à son partenaire. Lorsque certains de ses problèmes sont récurrents ou perdurent, il ne faut pas hésiter à consulter des spécialistes comme un psychologue, un sexologue. Mais changer de rythme de vie est aussi recommandé.